[Discussioni] sempre sulla mozione

raphael calvelli raphaello-mouse a altern.org
Mar 17 Lug 2001 14:14:15 CEST


Puo' servire: tradotto da un gentiluomo - che possiamo ringraziare  - 
(wsapplegate a postmaster.co.uk) su
http://linuxfr.org/2001/07/14/4244,0,0,0.html, è la traduzione della 
mozione di Firenze in francese, al 99% corretto, con poi 2 commenti 
dalla gente aggiunti. Non sperate da me nessuna traduzione prima che 
abbia ripreso il sonno arretratto. (ah si, dicono alla fine che 
firenze è la più bella città del mondo, ma sarà vero?, poi due righe 
di trad alla fine, sono troppo gentile)

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Voici la traduction complète du texte proposé. C'est pas top, mais ça 
sera toujours
                 mieux qu'un machin à la Babelfish... Si vous trouvez 
que ça pollue trop, scorez à -1.
                 Les fautes d'aurtograffe sont © William Steve Applegate 2001.
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                 Type : motion
                 Proposée par : Alessio Papini, Riccardo Basosi, 
Simone Menci, Luca Pettini,
                 Gregorio Malavolti
                 Objet : introduction et expansion du logiciel libre 
dans l'administration publique

                 Attendu qu'il a été défini comme logiciel libre les 
logiciels (systèmes d'exploitations,
                 applications génériques telles qu'éditeurs de texte, 
SGBD, navigateurs Internet et
                 applications plus spécialisées) dont l'utilisation 
n'est pas soumise à des limitations,
                 sauf celle d'imposer des limitations futures sur les 
produits dérivés (avec la licence dite
                 GPL : General Public Licence) et dont le code source 
est connu et librement
                 disponible ;

                 Lu l'appel suivi par de nombreuses firmes de 
professionnels liés au monde
                 informatique, opérateurs de l'administration publique 
et autres citoyens titré « Sujétion
                 informatique de l'État Italien à Microsoft » qui met 
en évidence le fort déséquilibre de
                 la part de l'administration publique vers l'emploi 
presqu'exclusif de produits logiciels
                 provenant d'une seule entreprises, tant dans le 
domaine des systèmes d'exploitation
                 que pour les applications dites de bureau (traitement 
de texte, bases de données,
                 présentations, lecteurs de courrier électronique, 
etc.) : considérant qu'une telle
                 situation a instauré un très fort monopole sur les 
produits logiciels ;

                 Considéré le très délicat aspect, la présente motion 
traitant d'entités publiques, de la
                 sécurité informatique, il apparaît que l'emploi de 
produits propriétaires d'entreprises qui
                 ne divulguent pas le code avec lequel ont été 
produits les programmes rend de fait
                 impossible même à des experts de savoir exactement ce 
que fait ou peut faire ce
                 programme, ou ce que pourraient faire des versions 
futures. Il est connu que certains
                 programmes propriétaires sont potentiellement en 
mésure d'envoyer via Internet des
                 informations provenant de l'ordinateur sur lequel ils 
sont installés à des ordinateurs
                 distants, même à l'insu de l'acheteur, tandis que la 
plupart des programmes
                 propriétaires, en maintenant secret le code source, 
rendent infaisable, ou du moins
                 très difficile la vérification de la présence ou non 
d'une telle possibilité dans les
                 logiciels installés. Cet aspect déconseillerait donc 
d'autant l'emploi de logiciels
                 propriétaires (sans code source contrôlable) sur des 
PC sur lesquels seraient
                 entreposés des données confidentielles et/ou 
précieuses. Les risque exposé ci-dessus
                 a convaincu certains pays, parmi lesquels la France 
(par exemple les Ministères de la
                 Culture, de l'Éducation, et le Trésor Public), les 
USA (y compris des agences
                 gouvernementales comme la CIA, le FBI et la NASA), le 
gouvernement central
                 Mexicain et la Chine de doter leurs administrations 
publiques de préférence avec des
                 logiciels à sources ouvertes (Open Source) ;

                 Considéré que dans l'appel décrit plus haut, on 
apprend que des nouvelles versions
                 des produits logiciels indiqués ci-dessus viennent 
mises sur le marché, différentes des
                 précédentes seulement par quelques détails ou 
quelques fonctions annexes, et que,
                 comme chaque utilisateur d'outils informatiques a eu 
le loisir de le remarquer, souvent
                 il n'existe pas de compatibilité entre deux versions 
d'un même produit, ce qui fait que,
                 si un quelconque bureau de l'administration publique 
ayant acheté les produits Office,
                 disons de la série 2000, transmet par courrier 
électronique, ou par disquette un
                 document élaboré avec cette version à un autre bureau 
qui utilise encore les produits
                 Office de la série précédente, ce dernier ne sera pas 
en mésure de le lire. Il s'agit, en
                 pratique, bien que masquée par des licences 
multiples, des ristournes et des plans de
                 mise à jour, d'une obligation plutôt discutable à 
acheter toujours le produit le plus
                 récent ; mise à jour qui souvent signifie, pour le 
bureau acheteur, ou une baisse de
                 productivité dû à une plus grande lenteur des 
produits plus récents (et plus lourds), ou
                 une dépense majeure pour mettre à jour aussi le 
matériel. Il s'agit en pratique d'une
                 obligation plutôt discutable à acheter toujours, très 
cher, le produit le plus récent ;

                 Retenu que les prérequis essentiels pour les données 
de l'administration publique sont
                 (1) la sécurité des données traitées et conservées ; 
(2) la communicabilité des
                 données : c'est-à-dire que chaque document mis à la 
disposition du public devrait être
                 dans un format lisible par les principaux programmes 
de traitement de texte, et non
                 seulement par un seul ou quelques-unes ; (3) la 
stabilité du format : c'est-à-dire qu'afin
                 de garantir la permanence dans le temps de la 
documentation produite par
                 l'administration, en évitant de devoir recommencer à 
zéro en cas de changement du
                 matériel ou des logiciels, et donc la continuité de 
son travail, chaque document doit
                 être produit dans un format réputé stable dans le 
temps, qui ne subit pas de
                 modifications avec l'évolution du logiciel qui l'élabore ;

                 Observé que l'aquisition des nouvelles versions des 
logiciels Microsoft représente une
                 dépense important dans le total des dépenses 
informatiques, avec des coûts qui se
                 rapprochent de ceux soutenus pour l'achat des modèles 
plus récents de PC ;

                 Vu que de tels postes de dépenses pourraient être 
mieux investis pour améliorer le
                 service public en réseau [sic], aujourd'hui 
insuffisamment développé, ou pour la
                 promotion d'une meilleure alphabétisation 
informatiques des citoyens ;

                 Analysé que la tendance considérée comme plus 
intéressante, même dans les
                 ambitions de la « nouvelle économie », est de 
déplacer les investissements sur les
                 services tels qu'assistance, cours, formations en 
général et installation, en investissant
                 plus sur les moyens humains : continuer à proposer 
des investissements seulement
                 sur les logiciels et très peu sur les services est 
anachrnonique, et probablement en
                 porte-à-faux avec le marché ;

                 Mis en évidence que, contextuellement à la sujétion 
de l'administration publique aux
                 produits Microsoft, on remarque le désintérêt 
chronique et incompréhensible pour le
                 monde du logiciel libre, en particulier pour des 
systèmes d'exploitation désormais très
                 valides (comme Linux) et d'autres produits de bureau 
fonctionnant aussi sous
                 Windows, et aux caractéristiques en grande partie 
recoupant celles des produits
                 Microsoft, et qui peuvent être aquis même gratuitement ;

                 Observé aussi que la fréquente présentation de la 
part de sites publics de documents
                 au format « Microsoft Word » (comme si celui-ci était 
le seul format de traitement de
                 texte existant sur le marché) effectue de fait une 
promotion indue et gratuite (si au
                 moins, on se faisait retribuer pour la publicité !) 
d'une société commerciale, aux
                 dépens des autres ;

                 Considérant que sont déjà mis en place, et qu'à brève 
échéance seront lancés de
                 nouveaux cours de requalification informatique pour 
les employés communaux ;

                 Relevé qu'Internet et l'emploi d'outils informatiques 
deviendra sûrement une
                 quasi-obligations pour toute habilitation civile 
[sic] (plus que la télévision) d'ici
                 quelques années. Il ne semble vraiment pas opportun 
que dans chaque ordinateur,
                 dans chaque foyer il y ait uniquement des logiciels 
produits par une seule entreprise, e
                 dont le code source n'est connu de personne, sauf de 
ses producteurs : cette
                 hypothèse, actuellement extrêmement réelle, donne 
jour à des scénarios
                 préoccupants, du moins en puissance ;

                 Considéré qu'en cours de discussion du budget 2000, 
il a été accepté par la Giunta un
                 ODG [ordre du jour ? NDT] présentée par certains 
promoteurs de cette motion qui
                 proposait d'utiliser une partie des fonds destinés à 
l'achat de logiciels pour
                 l'administartion, à l'aquisition de logiciels libres ;

                 L'administration communale est invitée :


                        à rendre prioritaire pour les bureau de la 
Commune de Florence et à inviter aussi
                        les autres entités publiques à acheter des 
produits logiciels de bureau en tenant
                        compte :

                           1.des exigences de sécurité, ce qui 
implique l'emploi exclusif de logiciels
                              libres, ou au moins open source pour les 
ordinateurs destinés à utiliser
                              et emmagasiner des données 
confidentielles, protégées par la loi sur la
                              vie privée, ou tout du moins de valeur 
pour l'administration et/ou pour les
                              citoyens ;
                           2.du composant coût du produit/de 
l'assistance fournie, lorsqu'ont été
                              rencontrées lors d'un appel d'offres des 
caractéristiques comparables de
                              facilité d'utilisation et de conformance 
des produits aux exigences des
                              entités (spécialement là où celles-ci se 
retrouvent, comme il arrive
                              normalement, dans la simple production 
de documents, échange de
                              courrier, ou dans d'autres fonctions 
élémentaires), ainsi qu'à vérifier si
                              des caractéristique comparables sont 
assurées par des produits qui
                              peuvent être acquis gratuitement ;

                        à considérer dans la création des budgets, les 
avantages découlant d'un
                        investissement supplémentaire dans 
l'assistance et l'installation, et par un
                        investissement moindre dans les logiciels, en 
particulier en employant des
                        logiciels libres ;
                        à promouvoir l'emploi de formats de données 
standard, ouverts et documentés,
                        ceux-ci étant d'une extrême importance et 
flexibilité pour maintenir la pleine
                        compatibilité avec des futurs changements 
techniques et ayant ce notable
                        impact dans le cas d'une réalisation de 
programmes ad hoc pour
                        l'administration publique, sans aucune 
conséquence pour la facilité d'utilisation
                        [le troll du jour : il ne vont pas adopter 
LaTeX ;-) NDT] ;
                        à insérer dans le programme des cours de 
requalification informatique pour les
                        employés communaux l'emploi du système 
d'exploitation Linux et d'autres
                        produits libres (et donc Open Source) et à 
amener les employés à l'emploi
                        exclusif dans l'expédition de documents de 
formats de sauvegarde/échange
                        lisibles par n'importe quel autre programme de 
traitement de texte (par exemple,
                        le format RTF) et non simplement des documents 
dans le dernière version
                        disponible du programme de traitement de texte 
dont ils disposent ;
                        pareillement, on devrait agir avec les autres 
programmes de bureau (tableurs,
                        présentations, etc.) ;
                        à s'activer pour mettre en oeuvre des 
politiques pour diffuser majoritairement les
                        logiciels libres et Open Source dans les 
écoles et auprès de tous les citoyens.

----- fine mozione. Ecco i commmenti ---

                 Voilà, c'était la mauvaise traduction avec des 
arguments frappants du jour, en direct de
                 la Mairie de Florence ; je rends le micro à pasBill 
pasGates pour le troll subséquent,
                 ici Nice, à vous Seattle !
---------

Merci pour la traduction. :)

                        En fait, ils veulent se debarrasser de Windows 
et de Word pour pleins de
                        bonnes raisons.
                        N'empêche qu'ils se positionnent toujours en 
simple consommateurs de
                        logiciels.
                        Pas de rapport de bug prévu, pas de 
participation au developpement des softs,
                        pas de support technique en interne, pas de 
localisations des programmes ou
                        de rédaction de doc, pas de reflexions sur les 
standards a adopter ni comment
                        les faire évoluer. C'est dommage de se limiter 
à l'utilisation des LL.
                        Et puis, Word n'est pas le logiciel ultime à 
détroner. Ils ne disent pas comment
                        ils vont se débrouiller avec leur SIG, avec 
leur système de paye et tous les
                        autres progiciels nécessaires pour une mairie 
et qu'on ne trouve pas si
                        facilement sous Linux.
                        [ Répondre ]

(dice: peccato che solo consumo di software. Niente rapport di bug? 
come faranno con tutti i sistemi tipo gestione paghe, sistema 
integrato di gestione, che ora non si trovano sotto linux?)

                              Re: Mauvaise traduction (mais 
complète)... (Score: 0 - )
                              Ajouté par Anonyme - Lundi 16 Juillet à 10:08

                              Tu es bien gentil, mais je ne crois pas 
que la partie technique (rapports
                              de bugs, etc...) soit d'un quelconque 
intérêt pour le conseil municipal de
                              la plus belle ville du monde (tm), 
laisse dont cela à leur service
                              informatique qui sait sûrement ce qu'il 
a à faire, sinon ils n'auraient pas
                              fait ce choix. J'ai vu (par une porte 
dérobée) une réunion du conseil
                              municipal de Florence, et vu le nombre 
de conseillers ça m'étonnerait fort
                              qu'ils aient le temps de s'embarasser de 
ce genre de détails *pendant*
                              ces réunions.

(dice che la parte tecnica è secondaria, in risposta al commento 
precedente, che c'è tanta gente alle riunioni del consiglio comunale, 
aveva visto, quando ha visitato palazzo vecchio)




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